Fleurs de Bach

Emil Cioran disait que « Dieu devait beaucoup à Jean-Sébastien Bach ».  Le divin en nous doit beaucoup aux fleurs de Bach. Mystérieuse formulation ? Pas si l’on considère que les élixirs floraux du Dr Edward Bach ne visent ni plus ni moins qu’à guérir l’âme en domptant les émotions.  Il faut remettre dans son contexte Edward Bach, qui fut médecin à partir de 1914 et pleinement maître de son art dans les années 1930, alors que la médecine était en plein mouvement néo-hippocratique, où l’essor de l’homéopathie forçait professeurs de faculté et médecins homéopathes à s’asseoir à la même table.  Les « cartésiens » pourraient dire que ce ne sont que des salamalecs, mais le célébrissime et plébiscité Rescue Remedy que l’on trouve dans n’importe quelle pharmacie déjoue le mépris.  Alors, non seulement les remèdes de Bach promettent de pallier des problèmes de santé physique et des déséquilibres psychologiques mais ils ont la compétence d’appuyer des réussites familiale, professionnelle, sociale et sont même des clés de sa propre réalisation spirituelle.

Les remèdes sont répartis en douze « guérisseurs », sept « auxiliaires » et dix-neuf « guides ».  Ces derniers, sont nommés de telle sorte eu égard au fait qu’ils sont les plus « puissants » et les plus « spiritualisés ». L’organisation thérapeutique des remèdes de Bach, loin d’une simple addition de gouttes d’élixirs, envisage une synergie des plus subtiles et la plus finement adaptée à son profil et ses problématiques.

Soin d'une heure

Durant environ 45 minutes, voire une heure si besoin, nous discuterons ensemble des émotions qui vous perturbent en ce moment.  A l’issue de la séance, vous recevrez un flacon contenant les fleurs qui ont été révélées.  Ce flacon sera votre compagnon durant trois semaines.

Une séance suffit pour vous ré-harmoniser.  Cependant, l’expérience montre que trois consultations, espacées chaque fois de trois semaines, permettent de régler définitivement le malaise, le mal-être.

Tarif: 50€ la séance

Quelques vérités fondamentales

Selon le Dr Edward Bach,

  1. L’homme a une Ame qui est son moi réel, un Etre Divin, Puissant, un Fils du Créateur de toutes choses, dont le corps, bien que temple terrestre de cette Ame, n’est qu’un faible reflet; que  notre Ame, notre Divinité qui réside en nous et autour de nous, dispose à son gré de notre vie et pour autant que nous nous y prêtions, nous guide, protège et encourage, attentive et bienfaisante à nous diriger pour notre plus grand bien; qu’Elle, notre Moi Supérieur, étant une étincelle du Tout-Puissant, est invincible et immortelle.
  2. Tels que nous nous connaissons en ce monde, nous sommes des personnalités placées ici dans le but d’acquérir toute la connaissance et l’expérience qui se peuvent obtenir par l’existence terrestre, de développer des qualités qui nous manquent et d’éliminer tout ce qui est mauvais en nous, progressant ainsi vers la perfection de notre nature.  L’Ame sait quel milieu, quelles conditions sont les plus propres à nous permettre d’atteindre ce but et nous place là où il convient que nous soyons à cet effet.
  3. Il nous faut bien comprendre que le bref passage sur cette terre que nous connaissons en tant que vie n’est qu’un instant dans le cours de notre évolution, telle une journée d’école dans une existence. Et bien que nous ne puissions pour le moment voir et comprendre que ce seul jour, notre intuition nous dit que la naissance fut infiniment loin de notre commencement et que la mort est infiniment loin de notre fin.  Nos Ames, qui sont réellement nous, sont immortelles, et les corps dont nous sommes conscients sont temporaires, comme des chevaux que nous montons pour accomplir un voyage ou des instruments dont nous nous servons pour exécuter un travail.
  4. Tant que notre Ame et notre personnalité sont en harmonie, tout est joie et paix, bonheur et santé.  Le conflit surgit quand notre personnalité s’écarte de la voie tracée par l’Ame, soit par l’entraînement de nos propres passions, soit par la persuasion des autres. Ce conflit est la cause profonde de la maladie et de l’insatisfaction.  Peu importe notre tâche en ce monde – cireur de chaussures ou monarque, propriétaire ou paysan, riche ou pauvre – tant que nous accomplissons cette tâche particulière selon les directives de l’âme, tout va bien, et nous pouvons en outre être assurés que quelque position que nous occupions dans la vie, princière ou inférieure, elle contient les leçons et expériences nécessaires à ce moment de notre évolution et nous donne la meilleure chance pour notre développement.
  5. Le grand principe suivant est la compréhension de l’Unité de toutes choses, que le Créateur de toutes choses est l’Amour et que tout ce dont nous avons conscience est dans toute son infinité de formes une manifestation de cet Amour, qu’il s’agisse d’une planète ou d’un caillou, d’une étoile ou d’une goutte de rosée, d’un homme ou de la plus infime forme de vie.  Nous pouvons en avoir une idée en nous représentant notre Créateur comme un grand soleil flamboyant de bienveillance et d’amour, irradiant de son centre un nombre infini de rayons partant dans toutes les directions, à la pointe desquels nous sommes des particules qui doivent finalement revenir au grand centre après avoir acquis expérience et connaissance.  Et bien que chaque rayon puisse nous apparaître séparé et distinct, il fait en réalité partie du grand Soleil central.  La séparation est impossible, car dès qu’un rayon de lumière est coupé de sa source, il cesse d’exister.  Ainsi pouvons-nous comprendre quelque peu l’interdépendance de tous, car bien que chaque rayon puisse avoir son individualité, il n’en est pas moins partie du grand pouvoir central créateur.  Donc toute action contre nous-mêmes ou contre un autre affecte le tout, et comme l’imperfection d’une partie se reflète sur l’ensemble, chacune de ses parties doit en définitive devenir parfaite.
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